Bruno’s dias
- Julie Diler
- 5 juil. 2019
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 8 sept. 2019

Cet article s’est fait attendre, pardonnez-nous. En effet, notre arrivée au Costa Rica date déjà de presque 3 jours. Nous avons donc bien passé notre jour et demi de flânage à San José.
D’abord, malgré quelques angoisses et quiproquos nocturnes, nous nous sommes senties dès notre premier pas en ville, le matin du 1er juillet (après une bonne nuit post-jet-lag), plus détendues et à l’aise que nous le pensions possible pour notre premier grand voyage en solo, outre-atlantique qui plus est.
Les gens ont tous été, au premiers abords, patients (en déchiffrant, au choix, notre mauvais anglais ou mauvais espagnol) et bienveillants (en gros pour les mêmes raisons).
Sans doute que tous les Costariciens ne sont pas les sosies de Miss France ou de l’image médiatique de Ségolène Royal, mais l’ambiance générale fut bien appréciable et rassurante.

Dans la capitale nous avons visité le Mercado Central, un fouillis de bouibouis (les sodas) d’herbes médicinales et d’objets apparemment artisanaux. Il nous a un peu rappelé les bazars ambiant des médinas marocaines mais avec plus d’ordre dans le fond, moins ramifié de chemins resserrés et odorants.

Ensuite, direction la Plaza de la Cultura et son musée de l’Or et de la Civilisation précolombienne qui nous a bien fait rêver avec son goût pour le matriarcat, sa passion pour les écarteurs de 10cm de diamètre et les tatouages tribaux.
Le lendemain, nous sommes parties tôt le matin pour San Isidro où nous attendait un bus pour Platanillo (et notre point de chute, Cascada Elysiana).


Après nous être trompées de bus et que je me sois, étonnamment, bien stressée pour pas grand chose, nous arrivons finalement à un chemin caillouteux ou cinq volontaires pointent le bout de leur nez pour sauver ce qu’il nous reste d’âme.
julie

Comments