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Nouveau départ

  • Photo du rédacteur: Julie Diler
    Julie Diler
  • 22 juil. 2019
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 8 sept. 2019


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Notre dernière semaine en eco-lodge fut plus courte que prévue.

Après être rentrées de notre weekend à Manuel Antonio (lundi dernier), nous avons pu nous rendre compte que notre fin de semaine s'était vu avancée de 2jours (notre day off était programmé le vendredi au lieu du dimanche).

Ce changement de plan nous a plutôt convenu étant donné quelques différents à propos d'argent (encore et toujours) avec les gérants de Cascada Elysiana. L'absence de transparence et la volonté de montrer ses gros biceps virils pour régner comme un sagouin n'est apparemment pas un monopole européen.


C'est donc dès le milieu de matinée du jeudi, que nous nous sommes carapatées avec 3 fringuants hommes suisses (24 ans environ), rencontrés la veille au milieu de la jungle. Leur route passant par Dominical, ils ont eu l'amabilité de nous y escorter.

J'en profite pour oublier un sac contenant mon passeport et ma carte bleue à Cascada Elysiana, pour payer 10.000colones un taxi juste pour lui (après une dépression mentale de 2h) et pour taumatiser un vendeur de plongée en lui offrant un smoothie ananas-mangue en échange d’un peu de wifi.



Gros au-revoir à Maudie, volontaire anglaise de 20 ans dont nous nous sommes emourachés, puis direction, pour la nuit, Uvita.


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Le lendemain nous partons, en courant, de notre hôtel pour prendre un bus qui aura finalement 1h de retard.

Départ à 6h30.

5h de bus vers San Jose.

30min de marche intensive jusqu'à un autre terminal de bus.

4h d'attente dans le dit-terminal avec du remix Kesha-Maroon5 au volume boîte de nuit.

5h de bus de San Jose vers Monteverde (arrivée à 20h).

A Monteverde, nous buvons de la bière et mangeons des tacos maisons.


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Après une bonne nuit de sommeil (réveil à 6h30 les zouzs) nous partons enfin vers le premier objectif de cette remontée vers le grand Nord : el parque nacional de Monteverde.

Ce parc bénéficie d'un des 120micro-climats présents au Costa Rica et sa biodiversité est l'une des plus riches d'Amérique centrale (et plus si affinités). Ici tout est vert, dégouline d'humidité et est enveloppé d'une nappe de brouillard quasi-transparente.

Petite balade en photo les amis.



Après 4h de marche, nous nous faisons ramener au centre-ville par 3 québécois.e.s avec qui nous avons sympathisé dans la parc. A 5 dans la voiture des totally spies (les vré sachent) sans ceintures, la promiscuité étant relativement appréciable dans les routes hyper caillouteuses du Costa Rica.


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Après nous être faites arnaquer dans un restau trop cher, nous partons à la recherche de sandales que je ne trouverai jamais, fouinons dans les petites boutiques de fait-mains (ou Mathilde a acheté une jolie roble made in India, le bon écotourisme) et finissons la journée avec du mauvais vin blanc importé et une bonne bière du coin, le nez dans des pâtes aux champignons.

 
 
 

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