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Week-end 3

  • Photo du rédacteur: Julie Diler
    Julie Diler
  • 18 juil. 2019
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 8 sept. 2019

Pour notre dernier weekend lors de notre séjour à Cascada Elysiana nous avons toutes deux décidé de partir pour Manuel Antonio, où se trouve le plus beau parc national de la côte pacifique.

Arrivées à Platanillo, re-pasdebus et re-stop. Une américaine ayant récemment acheté une propriété dans les environs s'arrête rapidemment. Travailleuse dans la Syllicon Valley avec son mari, elle s'est établie ici pour pouvoir se ressourcer au milieu de la nature et de la biodiversité (rien de tel que 3 aller-retours en avion par an pour la planète, tu le sais bébé).

Une fois à Dominical nous trouvons facilement un bus pour transporter notre arrière-train jusqu'à notre point de chute (ptites photos ci-dessous), puis dodo.



Le lendemain, levées à 5h30, petit déj à l'entrée du parc puis début de la visite à 7h (ouverture du parc).

Nous y restons bien plus de 5h tant tout là-bas est magnifique et immense. Petites illustrations appréciables :





Une fois sorties nous nous offrons un café d'agréable qualité dans une boutique puis une bière nationale, puis un restau dans un pub avec terrasse plongeant vers la mer et le coucher de soleil.



Après une bonne nuit de sommeil nous nous offrons une dernière demi-journée à Manuel Antonio avant de rentrer à Platanillo : petit dèj du feu de Dieu dans un café, baignade dans une crique un peu secrète dans la matinée puis retour tranquilou en bus jusque Dominical.

De Platanillo, nous commencions à désespérer de trouver un autostoppeur à l'air fiable, sous une pluie peu agréable, quand 3 personnes dans un camion se sont arrêtés à notre hauteur.

Nous indiquons notre destination plusieurs fois, que seulement l'un d'eux à l'air de connaître. Il nous parle en espagnol (on a pas compris grand chose) et nous fait signe d'entrer dans sa remorque en bois (réservée habituellement au bon vaches) où un autre de leurs comparses attend d'être livré.

Après un trajet de 15min au milieu des copeaux de bois et de notre inactivité linguistique avec notre compagnon de route ticos, nous arrivons à bon port. Nous remercions tout le monde comme nous pouvons et rentrons tranquillement pour faire une lessive de qualité.


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